enfin 'jai a nouveau accès à un ordi!!!
toujours des histoires...
le voyage en espagne c'est bien déroulé et l'engueulade d'après aussi.
les cours ont repris, et pour une fois je bosse. Ca change de l'an passé... la deuxième année d'histoire m'a ouvert ses bras à moi de ne pas la décevoir et puis ça me ferais vraiment chier de perdre une année.
bon, certain vont dire qu'il pleut toujours en Bretagne, il est vrai que ces temps ci, le beau temps n'est pas vraiment au rendez-vous... mais malgré tout il faut voire le côté positif des choses, car il y en a toujours un, par exemple je n'aurais pas besoin d'arroser les fleurs de ma mère.
les vacances sont là, mes parents sont partis je ne sais où, ma frangine n'est pas là et je par en Espagne avec mon groupe de musique la semaine prochaine, c'est vraiment la classe. Dommage que mon ami ne puisse venir, monsieur doit travailler, donc l'Espagne se sera sans lui. A la place, je pars avec son principal rival, un mec qu'il ne peut pas supporter et qui est toujours au coeur de nos disputes. Ca me fait rire de le savoir jaloux, c'est touchant mais c'est chiant.
j'en connais un qui va être pressé de me voir rentrez, qui va passer ces deux semaines à se demander ce que je fais, avec qui surtout, qui va s'énerver en pensant à ce qui pourrait arriver. tout cela pour rien, car si je l'avais désiré cela ferai longtemps que j'aurais quité mon petit Goulc'han pour se chère Malo. Il est clair qu'a un moment ça a été critique, mais aujourd'hui tout va bien, c'est l'amour fou, même quand il s'amuse à me taper sur le système.
Je suis du centre Bretagne, lui vit sur la côte, et je me rend compte que nos visions de L'Amour, sont complètement différentes, lui parle de grand Amour, de patience, de fidélité, alors que moi la patience je n'en ai jamais eu (et pour cela que je suis avec lui, plutôt qu'avec Malo), la fidélité je ne suis pas contre, mais on a le droit de commettre des erreurs, pour lui c'est interdit et il me juge sur mes histoires passées par rapport à cela. Il est vrai que j'ai fait pas mal de bétise avec ma philosophie du : "proffite de l'intand présent", mais je ne regrette rien de ce que j'ai put faire, lui me reproche, qu'après des histoires qui se sont mal terminées, je sois sortie avec ce qui me tombais sur la main, et alors si c'est comme ça que je me console! Il aurait préféré que je fasse comme lui, passer deux ans au célibat'! Non mais.
Dans la région où il vit j'ai l'impression que beaucoup se posent trop de question par rapport à l'Amour, les sentiments. Dans ses amis, plusieurs alors qu'ils ont la vingtaine, ne sont jamais sortis avec une fille!! je trouve ça dingue! Alors que moi, à huit ans, mon voisin abusait de moi et mon cousin essayait de faire la même chose, donc Amour et sentimant ne symbolisait pas grand chose pour moi. Arriver à l'adolescence, je me faisait désirer, je jouais et cela m'amusais, parfois j'ai trop joué et j'ai vraiment fait du mal, mais ce n'était pas trop souvent donc ça allait. Je m'amusais à ridiculiser ce qui m'énervait, à rire parce que le mec ne savais pas dégraffer mon soutif par exemple ou plutart parcequ'il bandait moue (pour cette personne, mon rire a été tellement vexant qu'il n'a jamais réussi à durcir son pauvre membre du temps que j'ai passé avec lui, j'espère qu'il y arrive maintenant...), j'adorais vexer, rejeter les personnes qui m'avait fait souffrir aussi; la vengence étant un plat qui se mange froid j'attendais patiement que ma proie revienne vers mes filets avant de la jeter d'une façon diaboliquement méchante, c'est ainsi que je me suis vengée de mon voisin, pour mon cousin je n'ai pas encore réussi, mais j'ai toute la vie devant moi.J'arrive toujours à mes fins.
Je ne pense pas que toute les personnes du centre Bretgane soient comme moi, (je l'espère en tout cas) mais il m'est déjà arrivé de rencontrer pire que moi, un de mes ex', lui la fidélité, il ne connaissait vraiment pas, je ne sais pas ce qui lui plaisait chez moi, on était tellement différent, lui était à la limite de l'alcolisme, moi je sortais peu à peu de mes conneries et j'essayais de me ranger. Il était adorable, ma redonné confiance en moi, le seul problême, j'étais mineur, vierge et de un il ne voulais pas coucher avec une mineur de peur d'avoir des emmerde s(cela lui était déjà arrivé) et il ne voulait pas être mon premier. Il craignait que je sois amoureuse de lui, il ne voulait pas me décevoir. Pour faire un peu changer les choses j'ai voulu devenir comme lui, il était libertin, pourquoi ne le serais-je pas? je me suis rendu à une fête, j'ai piqué le mec de la fille qui organisait la soirée ( tu parles ils étaient ensemble depuis le début de la soirée et il n'en avait rien à foutre!!), je lui ai demandé de me raccompagner chez moi, et comme je le voulais ce qui devais arrivé arriva... les conséquences de cette acte ont fait que toute les filles de mon village se sont retournées contre moi, j'ai cherché réconfort dans les bras de mon libertin. Très étonné et déçut, il ma réconforté, dans cette histoires j'avais perdu ma meilleur amie, je ne comprenais d'ailleur pas pourquoi car je ne lui avait rien fais à elle! Le libertin m'a consolé, il a compris pourquoi j'avais fais cela. Pourtant deux semaines plus tard il me quittais, un moi après il me disait qu'il avait été amoureux de moi, trois mois plus tard il m'avouait que depuis moi, il était resté avec la même fille sans la tromper (à une fille près : MOI). je le revoir encore parfois, il a changé, il, est tombé amoureux d'un fille mais l'a quittée.
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premier pas vers la vie.
les doigts commence à pianoter le clavier, le ciel est bleu et je ne sais pas trop par quoi commencer.
La vie dans mon chère pays, n'est pas si décalée de la vie des français, où devrais-je plus tôt dire des parisiens, car aujourd'hui comme toujours d'ailleurs la France et les français sont synonymes de Paris et parisiens. eux qui se prennent pour le nombril de la Marianne!
Je n'ai pas envie de faire un essai sur cette population, mais il est vrai que reconnaitre un parisien dans une grande surface par exemple, en Bretagne est chose relativement facile... Toujours entrain de raller, de traîner pendant 1/2 heure dans les rayons alors que le magasin doit fermer .
dans une gare c'est encore plus simple, se sont les seul à demandez : "c'est pour quand le prochain train?", le prochain train pour où? au guichetier de devinnez, car s'il ose demander la destination, on lui répond de façon évidante et limite en le prennat pour un abruti : "ben, pour Paris évidemment!".
Le pire pour nous, ces que ces Parisiens sont généralement d'ancien breton, j'en suis donc à me demander si l'air parisien rend bête ????
